Description du livre
Dans cet ouvrage, les auteurs montrent comment l'économie de l'assurance, la réduction des risques et le contrôle ou la limitation des dommages peuvent être combinés avec des concepts de choix collectif et de comportement collectif pour améliorer l'analyse des menaces croissantes auxquelles font face les alliances dans le monde entier.
Le livre développe une théorie de la gestion du risque comme intégrant la probabilité de perte, l'ampleur de la perte et l'isolement de la perte dans un modèle consolidé et étend les concepts existants de gestion du risque individuel par une seule personne à la théorie de la décision pour un pays entier, géré par une bureaucratie gouvernementale et hébergé dans un univers d'alliances qui se chevauchent.L
es auteurs découvrent une tendance inhérente à toute bureaucratie de coordination des politiques dans le domaine du contrôle des risques à échouer en raison de malentendus, de désintérêt ou d'incitations perverses, qui est essentielle à tout progrès dans la gestion des risques
liés à la prolifération des menaces nationales et mondiales.
Cette réduction peut nécessiter l'emploi, la menace ou la promesse d'emploi d'armes militaires défensives ou, selon le contexte, l'emploi d'armes militaires offensives. La constitution japonaise limite le Japon à l'utilisation de mesures défensives, même si le Japon et les Etats-Unis ont formé une alliance militaire. Cela place le Japon dans une "solution d'angle économique" qui consiste à ne fournir que de l'auto-assurance. Toutefois, le gouvernement Abe a l'intention de modifier l'interprétation de la Constitution afin que le Japon puisse fournir une gamme complète d'auto-protection et d'auto-assurance. Dans la perspective d'un tel changement constitutionnel, cet ouvrage revêt une importance particulière pour la sécurité nationale du Japon.